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Afrique occidentale



Atelier régional gestion des crues- 20 au 24 novembre à Ouagadougou

Description : 

L'Autorité du Bassin de la Volta (ABV), le Partenariat Mondial de l'Eau Afrique de l'Ouest (GWP - WA) et l'Organisation Mondiale de la Météorologie organisent l'Atelier Régional de Formation sur la Gestion Intégrée des Crues (GIC), la Préparation et le Financement des projets de GIC du 20 au 24 novembre 2017 dans les locaux de la Direction Exécutive de l'ABV à Ouagadougou, Burkina Faso.

Le présent atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Action Stratégique (PAS) du bassin de la Volta, à travers l’initiative portant sur la « Préparation de Projets de Mise en Œuvre de la Gestion Intégrée des Crues –GIC- » dans le bassin de la Volta et ses six pays riverains (Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Mali et Togo). Cette initiative est mise en œuvre par l’ABV avec l’appui du Programme Associé de Gestion des Crues (APFM) de l’Organisation Météorologie Mondiale (OMM) et du Partenariat Mondial de l’Eau (GWP) et par le Programme Eau Climat et Développement (WACDEP) du Conseil des Ministres Africains charges de l’Eau/ Union Africaine (AMCOW/ AU) mis en œuvre par le GWP .

L’initiative constitue une réponse de l’ABV ainsi que des Gouvernements et des Partenariats Nationaux de l’Eau (PNE) des six pays mentionnés ci-dessus à la problématique récurrente des inondations avec les pertes et dommages lourds y afférents pour le bassin et les Etats. En effet, la région de l’Afrique de l’Ouest a été objet des fortes crues ces dernières années. En 2009, les inondations dans la région ont causé au moins 152 millions USD de dégâts dans 12 pays. En 2010, plus de 2,2 millions de personnes ont été touchées par des inondations. Le cas le plus grave est toutefois survenu en 2012, lorsque plus de 10 millions de personnes ont été touchées par les crues. Seul au Nigéria, 2,3 millions de personnes ont été déplacées. D’après les tendances, la vulnérabilité de la région s’accroit en raison de la croissance démographique, de l'urbanisation et du changement climatique.

L’atelier régional fait suite à la première phase de l’initiative ayant portée sur l’analyse des besoins de renforcement des capacités en matière de GIC à l’échelle du bassin et dans chacun des six pays riverains. La troisième et dernière phase de l’initiative se focalise sur l’accompagnement des partenaires à  l’ABV et aux pays pour la formulation de Projets sur la GIC susceptibles d’être financés par des mécanismes de financement climatique (Fonds d’Adaptation, Fonds Vert pour le Climat, Fonds pour l’Environnement Mondial ...) et sur l’eau.

L’initiative est mise en œuvre de façon conjointe entre le GWP, l’OMM, l’ABV, le Réseau Africain des Organismes de Bassin (RAOB), et les PNEs des six pays riverains du bassin.

Auteur : 
Salifou DENE
Organisation : 
Autorité du Bassin de la Volta
Thématique(s) : 
Agriculture 
Alimentation 
Changement climatique 
Conflits d’usage 
Eau potable 
Eaux souterraines 
Eaux usées et assainissement 
Elevage 
Energie 
Environnement et milieux 
Gestion de la ressource 
Gestion des eaux urbaines 
GIRE 
Hygiène et santé 
Infrastructures 
Inondation 
Irrigation et drainage 
Navigation intérieure 
Pêche 
Pollution 
Qualité de l'eau 
Réglementation et politique de l'eau 
Sécheresse 
Pays : 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Volta 
Soumis par Bassin-Volta the jeu, 16-11-2017 - 12:37


Les élus locaux s'engagent pour une meilleure prise en compte des populations locales affectées par les barrages

Description : 

Du 4 au 6 juillet 2017 a eu lieu à Tenkodogo au Burkina Faso, la 3ème rencontre du Cadre de concertation des maires des communes affectées par les barrages dans le bassin du Niger élargie au bassin de la Volta sur les enjeux environnementaux.

 

Elle se voulait un cadre de réflexion et d’échange des préoccupations vécues par les populations affectées en matière de déplacement/réinstallation, de compensation, de partage de bénéfice, de développement local, autour des processus de barrage.

 

A l’issu des travaux, les participants ont proposé une série de recommandations visant une meilleure implication des élus locaux dans la gestion des barrages et une meilleure rentabilisation et partage des bénéfices issus des infrastructures hydrauliques avec les populations affectées. Les participants ont aussi adopté la convention révisée de coopération décentralisée et de jumelage entre les communes affectées par les barrages dans les bassins hydrographiques en Afrique de l’Ouest et du Centre, et le Règlement intérieur du Cadre de concertation des maires desdites communes. 

Cette convention signée démontre donc la volonté pour les élus de coopérer étroitement pour le développement économique, social et culturel de leurs communes réciproques à travers l’intensification des échanges entre elles aux bénéfices de leurs populations respectives.

Cette rencontre faisait suite à la signature en février 2012, en marge du Forum des acteurs et usagers (ères) de l’eau du Bassin du Niger à Sélingué, d’une convention de jumelage et de coopération décentralisée entre les communes affectées par les barrages.

Elle a été organisée par la Coordination Régionale des Usagers des ressources naturelles du Bassin du Niger (CRU-BN), avec l’appui technique et financier de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) dans le cadre du Partenariat pour la Gouvernance Environnementale en Afrique de l’Ouest (PAGE).

Auteur : 
Salifou DENE
Organisation : 
Autorité du Bassin de la Volta
Thématique(s) : 
Conflits d’usage 
Eau potable 
Eaux souterraines 
Eaux usées et assainissement 
Environnement et milieux 
GIRE 
Qualité de l'eau 
Réglementation et politique de l'eau 
Pays : 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Volta 
Soumis par Bassin-Volta the lun, 04-09-2017 - 9:41


La construction des grands barrages en Afrique de l’Ouest soumise à une nouvelle directive

Description : 

La 78ème session ordinaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO qui s’est tenue à Monrovia (Libéria) les 1er et 2 juin 2017 a adopté une directive relative au développement d’infrastructures hydrauliques en Afrique de l’Ouest. Cette nouvelle directive entre donc en vigueur à partir de ce jour sur l’ensemble du territoire des pays de la CEDEAO.

 

L’adoption de la directive par la CEDEAO est une étape importante pour la construction de meilleurs barrages. Les États devront la transposer dans leurs législations, en principe dans un délai de trois ans. Cette adoption est le résultat d’un dialogue régional sur les grandes infrastructures hydrauliques initié par la CEDEAO en 2009, qui a vu une forte mobilisation de la société civile.

 

« La directive régionale encadre la conception et la construction des barrages, son objectif est de faire en sorte que les considérations d'ordre écologique, économique et social soient davantage prises en compte dans la mise en œuvre de projets transfrontaliers d'infrastructures hydrauliques en Afrique de l'Ouest afin de garantir leur viabilité et assurer le développent durable de notre région. » Ibrahim B. Wilson, Directeur du Centre de Coordination des Ressources en Eau de la CEDEAO.

 

La mise en application de cette directive de la CEDEAO devra permettre d’obtenir ces changements à travers des mesures concrètes, visant notamment la recherche d’options alternatives aux projets qui conduiraient aux mêmes objectifs économiques tout en réduisant les impacts sociaux et environnementaux. Elle soutient aussi la généralisation de l’évaluation environnementale stratégique sectorielle (hydroélectricité, énergie, irrigation, etc.) ou régionale (au niveau d’un bassin). Elle demande clairement des cadres juridiques et procéduraux plus robustes pour garantir le partage des bénéfices (terres agricoles, électricité, eau potable, pâturages, zones de pêche, etc.) avec la protection des droits des populations affectées. Enfin, elle prône une plus grande transparence et une meilleure information pour renforcer la concertation et la collaboration entre les parties prenantes, et en particulier la participation effective des populations affectées aux prises de décision en toute connaissance de cause.

 

« Pour garantir une bonne application de la directive, un effort de veille et de contrôle doit être assuré. Pour ce faire, la coopération entre les différentes parties prenantes est essentielle. Le rôle de la société civile est déterminant. Le Centre de coordination des ressources en eau de la CEDEAO devra être le garant de la poursuite de ce processus de dialogue qui demandera l’établissement de partenariats multi acteurs durables. » Jamie Skinner, Directeur de la Global Water Initiative.

 

Environ 150 grands barrages sont construits à ce jour en Afrique de l’Ouest et 40 supplémentaires sont en projet ou en cours de réalisation, principalement dans les bassins des fleuves Niger, Sénégal, Volta et Gambie. Les évaluations économiques existantes montrent que les résultats sont mitigés. Les rendements économiques (quand les évaluations existent) sont généralement bons pour l’énergie, mais faibles pour l’agriculture, à cause d’hypothèses de faisabilité trop optimistes dès le départ. Les effets néfastes importants et sur le long terme de ces ouvrages sur l’environnement et les sociétés locales interpellent.

 

« L’adoption de cette directive est le fruit d’un processus long et participatif soutenu par l’UICN dès le début car, si d’une part il est préférable d’investir dans les infrastructures naturelles et les services écosystémiques qui en découlent, d’autre part il est absolument nécessaire d’améliorer les standards des grandes infrastructures hydrauliques pour en limiter les impacts sociaux et environnementaux négatifs.» Pr Aimé J. Nianogo, Directeur régional de l’Union internationale pour la conservation de la nature.

 

La réalisation des trois ouvrages structurants sur le fleuve Niger (Fomi en Guinée, Kandadji au Niger, Taoussa au Mali) déplacera près de 150.000 personnes. Les bouleversements sociaux qui en découlent devront être encadrés par des outils juridiques et un accompagnement social solides qui garantissent que les droits des communautés locales sur leurs terres et les ressources naturelles associées sont compensés de manière juste. Les gouvernements, ainsi que les investisseurs privés, qui ne respectent pas ces droits, courent le risque d’accroitre la pauvreté et de provoquer des conflits liés à la gestion de l’eau et des ressources connexes. Et ces risques ne restent pas limités au niveau local. La plupart de ces ouvrages hydrauliques ont en effet un caractère transfrontalier avec des implications sur l’ensemble des territoires des bassins hydrographiques et sur les pays concernés.

Auteur : 
Salifou DENE
Organisation : 
Autorité du Bassin de la Volta
Thématique(s) : 
Agriculture 
Alimentation 
Changement climatique 
Conflits d’usage 
Eau potable 
Eaux souterraines 
Eaux usées et assainissement 
Elevage 
Energie 
Environnement et milieux 
Gestion de la ressource 
Gestion des eaux urbaines 
GIRE 
Hygiène et santé 
Infrastructures 
Inondation 
Irrigation et drainage 
Navigation intérieure 
Pêche 
Pollution 
Qualité de l'eau 
Réglementation et politique de l'eau 
Sécheresse 
Pays : 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger, 
Bassin du Volta 
Soumis par Bassin-Volta the jeu, 27-07-2017 - 9:41


Volta Basin Authority to develop Water Charter

Description : 

The Burkina Faso-based Volta Basin Authority (VBA) has initiated a series of consultative processes towards developing a Water Charter for the integrated management of water resources in the six riparian countries of the Volta Basin. The countries are Ghana, Burkina Faso, Mali, Benin, Togo and Cote d’ Ivoire.

The Water Charter’s vision is, “a basin shared by willing and cooperating partners, managing the water resources rationally and sustainably for their comprehensive socio-economic development.” When completed, the Water Charter will serve as the conventional instrument to strengthen inter-state cooperation on the shared river basin for the mutual benefit of member countries.

 

Overview

This initiative is part of activities under the Volta River Basin Strategic Action Programme Implementation Project (VSIP) being jointly funded by the World Bank through the Cooperation in International Waters in Africa (CIWA), the Global Environment Facility (GEF) and the VBA at a total cost of 10.94 million US Dollars.

VSIP was evolved from the 2015 – 2024 Strategic Action Programme (SAP) for the Volta Basin and the 2015 – 2019 Strategic Plan of the VBA, following findings of a Transboundary Diagnostic Analysis in the Volta Basin in 2013.

The findings revealed environmental problems such as changes in water quantity and seasonal flows; degradation of ecosystems and deterioration of water quality. Other problems identified were climate change and its consequences; and the lack of coordination in the management of the shared water resources.

The study concluded that those challenges could aggravate water shortages, conflicts on water use and water borne diseases.

Thus, VSIP is packaged in response to these findings, with the overall goal to enhance the capacity of the VBA for transboundary water resources management. It has four components, the first of which is the Development of the Volta Basin Water Charter.

The others are Facilitating Dialogue, Communication and Project Management; Implementation of SAP Actions and Project Monitoring.

Development Process

The Development of the Volta Basin Water Charter is being rolled out in three phases over a three-year period from 2017 to 2019.

Phase 1 comprises various measures, including an estimation of the existing water resources available in the Volta Basin in-country and across the region. There is also a technical diagnosis to appreciate current and prospective water demands within the countries.

Another measure is the legal assessment at the national level across the countries to understand the different national, international and sub-regional conventions relating to water and the environment, as well as provide an understanding of the legal set-up in the water and environment sectors of member countries.

Also to be carried out is an institutional assessment to identify relevant existing structures at the national, sub-regional and international levels.

The BRL Engineering team of experts is leading the process, which will result in the development of a Shared Water Diagnostic Report on Transboundary Issues, to be addressed in the Water Charter.

The consultative processes involve stakeholder meetings, focus group discussions and face-to-face interviews. To this end, a team made up of officials of the VBA and a representative of the leading group was in Accra, Ghana, hosted and assisted by the Water Resources Commission (WRC), to interact with key partners and stakeholders as a start to the initial process towards developing the Volta Basin Water Charter.

This will be replicated in all the other countries to ensure the collation of comprehensive and appropriate data.

Phase 2 of the development of the Volta Basin Water Charter, has to do with the drafting of the charter, which will subsequently be subjected to stakeholder consultation. Following that, the draft charter will be validated by the team of technical experts and finalised, then approved by the ministers and adopted by the heads of state.

Phase 3 will involve the development of Action Plans to implement the charter. This will include the production of communication, education and informational materials, as well as holding of sensitisation forums to facilitate the required ratification of the Water Charter by the parliaments of the six riparian countries.

The Water Charter is expected to be a legal document binding on all member countries.

The Volta River and Basin

The Volta River is Africa’s 9th largest river that flows for a total distance of 1, 850 km and is shared by Ghana, Burkina Faso, Mali, Benin, Togo and Cote d’ Ivoire in the West Africa Sub-region. Its main tributaries are the Black Volta (Mouhoun), White Volta (Nakanbe), the Oti (Pendjari) and most rivers in the lower Volta that drain into the Volta Lake. Downstream the lake in Ghana, the Volta River discharges into the Atlantic Ocean.

The Volta Basin is a source of livelihood and a driver of socio-economic development for the majority of its 23.9 million inhabitants who are engaged in agriculture, livestock breeding, fisheries and aquaculture; and forestry.

The Volta Basin Authority was established in 2007 following the signing of a convention by the riparian countries, to promote permanent consultation for rational, sustainable and equitable management of the water resources of the Volta Basin for poverty alleviation and better socio-economic integration.  

Auteur : 
Salifou DENE
Organisation : 
Autorité du Bassin de la Volta
Thématique(s) : 
Agriculture 
Alimentation 
Changement climatique 
Conflits d’usage 
Eau potable 
Eaux souterraines 
Eaux usées et assainissement 
Elevage 
Energie 
Environnement et milieux 
Gestion de la ressource 
Gestion des eaux urbaines 
GIRE 
Hygiène et santé 
Infrastructures 
Inondation 
Irrigation et drainage 
Navigation intérieure 
Pêche 
Pollution 
Qualité de l'eau 
Réglementation et politique de l'eau 
Sécheresse 
Pays : 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Volta 
Soumis par Bassin-Volta the jeu, 13-07-2017 - 9:40


Prévisions saisonnières agro-hydro-climatiques en Afrique soudano-sahélienne 2017

Description : 

A retenir : Une saison avec des cumuls pluviométriques globalement excédentaires, un démarrage précoce à normal et des niveaux d’eaux équivalents ou supérieurs à la moyenne dans la majeure partie des bassins fluviaux, est attendue en 2017

 

Des cumuls pluviométriques excédentaires sont attendus dans les zones couvrant le Nord Ghana, le Nord Togo, le Nord Bénin, la moitié Est du Burkina Faso, l’Ouest Nigéria, l’Ouest Niger, le Centre Mali, le Sud Mauritanie, la Gambie, le Nord Sénégal, le Sud Tchad et l’Est Cameroun. Des dates de début de saison précoces sont attendues dans les mêmes zones, élargies à toute la bande agricole du Niger, au Nord Nigeria et au Centre Tchad. Les pays de la partie Ouest de la bande sahélo-soudanienne devraient s’attendre à une fin de saison précoce à normale ; alors que partout ailleurs, des dates de fin de saison tardives à normales  sont plus probables.

Mais attention, Il est attendu des séquences sèches longues à normales pendant la phase d’installation des cultures dans toute la zone sahélo-soudanienne de l’Afrique de l’Ouest. La majeure partie du Burkina Faso, l’extrême Sud Mali et les parties Nord de la Côte d’Ivoire, du Ghana, du Togo et du Benin devrait aussi connaître des séquences sèches longues dans la deuxième moitié de la saison des pluies.

 

Sur le plan hydrologique, des écoulements moyens ou supérieurs à la moyenne des trente dernières années sont attendus sur les bassins fluviaux de la région ouest-africaine, en dehors du bassin du fleuve Mono (Togo et Bénin) et de la partie inférieure du fleuve Volta (dans sa partie Ghanéenne principalement). Ainsi, les parties supérieures, moyennes et inférieures du bassin du Sénégal, la partie moyenne du bassin du fleuve Niger, le haut et moyen bassin de l’Ouémé (Bénin), et le haut bassin de la Volta devront connaître des écoulements supérieurs à la moyenne. Dans le bassin du Lac Tchad, la partie sud du sous bassin de l’affluent Logone, la partie aval du système Chari-Logone ainsi que le sous bassin de la Komadougou-Yobé devraient également connaître des écoulements au-dessus de la moyenne. Quant au bassin inférieur du fleuve Niger et le sous basin de la Bénoué (Cameroun et Nigeria), les bassins moyen et inférieur de la Volta, les bassins côtiers de la Comoé, la Sassandra, le Bandama ainsi que le fleuve Gambie, des écoulements moyens sont attendus.

Ces prévisions sont complétées par des recommandations pour la réduction des principaux risques : Sécheresse, Inondations et Maladies.

 

Auteur : 
Salifou DENE
Organisation : 
Autorité du Bassin de la Volta
Thématique(s) : 
Agriculture 
Alimentation 
Changement climatique 
Eau potable 
Pollution 
Qualité de l'eau 
Réglementation et politique de l'eau 
Sécheresse 
Pays : 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Volta 
Soumis par Bassin-Volta the mar, 23-05-2017 - 9:41


Bulletin Mensuel Avril 2017

Description : 

La situation hydrologique du bassin du Niger au cours du mois d’avril a été caractérisée par la poursuite de la baisse des écoulements sur l’ensemble du bassin.
La vidange des retenues des barrages de Sélingué au Mali, Kainji et Jebba au Nigeria se poursuit.
L’analyse des écoulements dans les quatre sous-bassins a été faite à partir des données enregistrées aux stations hydrométriques de : Koulikoro (Mali) pour le Niger Supérieur,  Diré (Mali) pour le Delta Intérieur, Niamey (Niger) pour le Niger Moyen et Lokoja (Nigeria) pour le Niger Inférieur.

Télécharger le bulletin Mensuel d'Avril 2017: http://www.abn.ne/images/documents/Bulletins/2017/bulletin_avril_2017_vf...

Auteur : 
GIRE2
Organisation : 
ABN
Thématique(s) : 
Gestion de la ressource 
Pays : 
Afrique centrale, 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger 
Soumis par Kabore the lun, 22-05-2017 - 13:14


Bulletin Mensuel Mars 2017

Description : 

La situation hydrologique du bassin du Niger au cours du mois de mars a été caractérisée par la poursuite de la baisse des écoulements sur l’ensemble du bassin.
La vidange des retenues des barrages de Sélingué au Mali, Kainji et Jebba au Nigeria se poursuit.
L’analyse des écoulements dans les quatre sous-bassins a été faite à partir des données enregistrées aux stations hydrométriques de : Koulikoro (Mali) pour le Niger Supérieur,  Diré (Mali) pour le Delta Intérieur,  Niamey (Niger) pour le Niger Moyen et Lokoja (Nigeria) pour le Niger Inférieur.

Télécharger le bulletin Mensuel de Mars 2017: http://www.abn.ne/images/documents/Bulletins/2017/bulletin_mars_2017_vf.pdf

 

Auteur : 
GIRE2
Organisation : 
ABN
Thématique(s) : 
Gestion de la ressource 
Pays : 
Afrique centrale, 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger 
Soumis par Kabore the lun, 22-05-2017 - 13:12


Bulletin Mensuel Février 2017

Description : 

La situation hydrologique du bassin du Niger au cours du mois de février a été caractérisée par la poursuite de la décrue sur l’ensemble du bassin.
La vidange des retenues des barrages de Sélingué au Mali, Kainji et Jebba au Nigeria se poursuit.
L’analyse des écoulements dans les quatre sous-bassins a été faite à partir des données enregistrées aux stations hydrométriques de : Koulikoro (Mali) pour le Niger Supérieur,  Diré (Mali) pour le Delta Intérieur,  Niamey (Niger) pour le Niger Moyen et Lokoja (Nigeria) pour le Niger Inférieur.

Télécharger le bulletin Mensuel de Février 2017: http://www.abn.ne/images/documents/Bulletins/2017/bulletin_fevrier_2017_...

 

Auteur : 
GIRE2
Organisation : 
ABN
Thématique(s) : 
Gestion de la ressource 
Pays : 
Afrique centrale, 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger 
Soumis par Kabore the lun, 22-05-2017 - 13:11


Bulletin Mensuel janvier 2017

Description : 

La situation hydrologique du bassin du Niger au cours du mois de janvier a été caractérisée par une poursuite de la baisse des écoulements sur l’ensemble du bassin. Cependant, au niveau du Niger Supérieur et du Niger Inférieur on amorce l’étiage.
La vidange des retenues des barrages de Selingué au Mali, Kainji et Jebba au Nigeria se poursuit.
L’analyse des écoulements dans les quatre sous-bassins a été faite à partir des données enregistrées aux stations hydrométriques de : Koulikoro (Mali) pour le Niger Supérieur,  Diré (Mali) pour le Delta Intérieur,  Niamey (Niger) pour le Niger Moyen et Lokoja (Nigeria) pour le Niger Inférieur.

Télécharger le bulletin Mensuel de Janvier 2017 : http://www.abn.ne/images/documents/Bulletins/2017/bulletin_janvier_2017.pdf

Auteur : 
GIRE2
Organisation : 
ABN
Thématique(s) : 
Gestion de la ressource 
Pays : 
Afrique centrale, 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger 
Soumis par Kabore the lun, 22-05-2017 - 13:09


Documents du PLCE

Description : 

Télécharger les rapports produits par le Programme de Lutte contre l'Ensablement dans le Bassin du Niger disponibles à travers le serveur ftp de l'ABN: ftp://ftp.abn.ne

NB: Utilisateur: plce / Mot de passe: plce2017 et valider par  "OK"
 

Auteur : 
PLCE
Organisation : 
ABN
Thématique(s) : 
Changement climatique 
Environnement et milieux 
Gestion de la ressource 
GIRE 
Pays : 
Afrique centrale, 
Afrique occidentale 
Bassin(s) : 
Bassin du Niger 
Soumis par Kabore the jeu, 23-02-2017 - 8:41
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